Qu’il est doux d’être seule sur une plage à écouter le clapotis des vagues. L’endroit est encore désert, le fond de l’air est frais et tonique. Dès que le soleil perce à travers les nuages, alors je peux ressentir sa brûlure.
Les odeurs se mélangent mais elles dégagent toutes un parfum iodé que je ne retrouve que là. Enfin place à la rêverie !
Pourquoi ce besoin vital d’y venir, au moins une fois, pendant ce mois d’avril ? Certainement la nécessité de retrouver l’odeur du Sud méditerranéen et d’y noyer ses pensées.
En regardant longuement la ligne d’horizon, je reprends espoir et je peux repartir le cœur léger grâce à l’énergie emmagasinée.
Tout devient possible !
on y est ! c'est tellement bon !
RépondreSupprimerFlorence